1. Service d’hiver 1991 et d’été 1992 :

Une relation Montpellier -> Mende à Belvezet.

Au cours de cette première phase, le roulement était assez proche de celui des X 2800. Six autorails étaient engagés les jours ouvrables de base (Mardi, Mercredi et Jeudi). La ligne des Cévennes était alimentée en RGP via Clermont Ferrand et le train EIR (Express d’Intérêt Régional) 59563 Clermont Ferrand/Nîmes (dép. 16 h46, arr. 21h41). Le retour du matériel sur Lyon-Vaise se faisait également via Clermont Ferrand et l’EIR 59562 Nîmes/Clermont Ferrand (dép. 8h32, arr. 13h02). Cette relation était couverte en UM (Unité Multiple) de 2 éléments, avec un 3^ème engin en renfort lors des pointes hebdomadaires et estivales.

A partir du dépôt de Nîmes, les RGP assuraient alors les trains suivants :

- Montpellier/Nîmes/Alès/Villefort (UM de Montpellier à Alès).

- Montpellier/Nîmes/Alès/La Bastide/Mende, sans arrêt d’Alès à La Bastide (temps de parcours 1h03 !) (US)

- Nîmes/Alès/Génolhac (US)

- Mende/La Bastide/Alès/Nîmes/Montpellier (US sauf les lundis matins : UM3)

- Langogne/La Bastide/Alès/Nîmes (US)

- Génolhac/Alès/Nîmes/Montpellier (US)

- Nîmes/Montpellier (UM3)

En dehors des précédentes circulations commerciales, les RGP effectuaient également quelques parcours à vide, afin de repositionner le matériel. Globalement, le kilométrage hebdomadaire sur la ligne des Cévennes tournait alors autour de 2700 km. Toutefois, cette solution n’était que provisoire, et les RGP allaient se voir conforter dans l’exploitation Cévenole.

2. Service d’hiver 1992 au service d’été 1994 :


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